À Grigny, fin avril nous sommes passés en vigilance sécheresse pour les eaux souterraines, encore plus tôt que les années précédentes. Depuis le 24 mai, nous sommes en alerte sècheresse renforcée pour les eaux superficielles. Ce n’est malheureusement qu’un début.
Avec la dérive inflationniste nous avons renoué avec des niveaux d’inflation inconnus depuis fort longtemps. Tout le monde est confronté à l’envolée des prix : le plein de carburant, la facture de gaz, les pâtes, la farine, l’huile, l’alimentation, etc.
Sans penser que les élections régleront tout, et sans minimiser l’impact des actes individuels, notamment sur la les questions écologique et de justice sociale, il reste indéniable que la solution politique est la seule capable de surmonter tout cela.
Tribune parue dans le Grigny Mag’ #78 de mars 2022 Vous y verriez des nuages blancs sur fond de ciel bleu… Encore faut-il qu’il n’y ait pas trop de pollution. Au conseil municipal de janvier, le maire et ses adjoint·es nous ont dit que non, la pollution n’était pas une priorité, que nous avions leLire la suite « Surtout ne levez pas les yeux ! »
Une ville aussi importante et dynamique que Grigny mérite un centre-ville à son image (avec par exemple une boulangerie et, pourquoi pas, une médecin, soyons optimistes) et non des annonces qui se suivent, année après année.
Pas sûr que cette opération de communication soit très positive pour notre ville, à en croire les réactions des visiteurs venant parfois de très loin pour découvrir des stands surpeuplés, des baguettes « magiques » et autres marchandises vendues très cher et des files d’attente interminables.
Petit à petit, nous sommes entrés dans une société ou notre liberté de circuler, de nous exprimer est restreinte. Dans notre société aujourd’hui nos déplacements, nos jeux, nos lectures, nos messages sont surveillés et enregistrés, avec notre consentement, sur nos ordinateurs et nos smartphones.
rapidement possible, par nous tous. Nous ne possédons pas la solution miracle, mais il doit s’agir là d’une des priorités de chaque élu·e. Cela passe par un respect des promesses faites, par l’écoute réelle des citoyen·nes.
municipale en mai dernier concernant le centre-ville sont ressorti·es bien déçu·es. Une nouvelle fois, ce ne fut pas une réunion de « dialogue et concertation » mais bien de « monologue et (dés)information ».
Faut-il transformer l’enfant dès son plus jeune âge en « consommateur » avec une « offre » de jeux ? Où est la place pour l’enfant à l’exploration, au rêve, à la découverte qu’un lieu comme celui-ce offre de lui-même ?
Au lieu de construire une école à taille humaine, au parc Veyret par exemple, ils vont mettre 8,9 millions d’euros dans la réhabilitation-agrandissement de Pasteur. Sa rénovation est urgente, évidemment, mais avec une telle enveloppe budgétaire nous pouvons réhabiliter Pasteur et construire une 3e école.
30 % du montant pour les associations qui sont en adéquation avec la politique associative de la majorité, 10 % pour la participation aux évènements communaux « considérés comme prioritaires par la municipalité » et 15 % pour l’organisation d’ateliers vacances… Ça fait quand même 55 % du montant de la subvention soumis à leur politique.
M. Wauquiez dit que la sécurité n’a pas de prix quand le Maire dit qu’elle est une priorité. En ce moment et à Grigny, ces propos ne seraient-ils pas plus appropriés pour parler de santé ?
Nous défendrons toujours l’intérêt d’un centre de santé municipal, car notre municipalité se doit de répondre aux besoins de santé de sa population, même si cela a un coût.
À notre sens, le plan proposé, validé à la majorité, non discuté et critiquable techniquement n’est pas à la mesure des engagements et différents enjeux du territoire.
Une nouvelle zone économique à la Rotonde, des classes de neige ou de mer, un pôle intergénérationnel, un RER sud, des pistes cyclables… des projets portés par la liste de la majorité actuelle en 2014 qui n’ont pas encore éclot 6 ans plus tard.
M. le Maire a pris la mauvaise habitude de ne pas réunir les commissions municipales, ne nous laissant donc aucune place pour faire des propositions ou avoir des initiatives.
Nous faisons le souhait que la Métropole puisse continuer à collaborer avec la municipalité de Grigny. Hélas, Xavier Odo n’étant plus élu au Conseil Métropolitain, il en a décidé autrement à en juger par sa réaction.
Aujourd’hui élu·es officiellement, les cinq membres du groupe de la Gauche Écologiste et Solidaire ont la volonté d’être partie prenante dans la vie de la commune et dans les décisions politiques qui la concernent, dans un esprit constructif.
De nombreux candidat·es de notre liste Changer Grigny se sont engagé·es concrètement dans la fabrication de blouses pour un hôpital de la Loire et de masques en tissus pour des associations grignerotes. Nous recensons via notre page Facebook les besoins des associations ou des particuliers.
Avec 59 % d’abstention, 1588 électeurs ont choisi la liste Continuons Grigny Ensemble que nous félicitons. Pour autant, 1600 bulletins, cela reste peu pour une ville de 10 00 habitant·es. Nous appelons donc les élu·es de la majorité à considérer ce score avec humilité.